Souvenir de Shinrinyoku et haïku au Fajas d’en Baillette
Respiration de la forêt vitalitécachée sous le silence. La forêt me donne je reçois humblement secret de sa beauté. Musique des feuilles mortes on retient le souffle période hivernale. Infiniment tissés couvrent le bleu du ciel les branches des hêtres. Si j’étais un singej’habiterai sûrement dans cet arbre. Le vent me caresse,toute cette beauté m’éveille chants d’oiseaux si doux ! Emprisonnée des bois symphonie grise et marron esprit libre. Veille sur la forêt du haut de tes 500 ans hêtre, esprit, gardien. Calme de la forêt retentitbruit de ventre. Brise fraîcheles branches nues se balancent tambour qu’annonce le printemps. Frôlé sur
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